L'auteur, que Allah lui fasse miséricorde, a dit :
La deuxième sorte, les actes : comme une prosternation pour une idole ou pour le soleil que ce soit pour les adorer ou dans un autre but. Dans les deux cas, c’est de la mécréance. Ainsi, se prosterner pour un humain dans le but de l'idolâtrer tout comme se prosternent certains ignorants pour leurs chaykh qui se prétendent du soufisme -c'est-à-dire s'ils se prosternent pour adorer leurs chaykh- dans ce cas-là, c'est de la mécréance. Si ce n'est pas pour les adorer, ce n'est pas de la mécréance mais c'est interdit.